Un an déjà

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Voilà un an que Solaris est né. Des choses ont été annoncées il y a un an qui aujourd’hui on le voit, se sont réalisées ou sont en voie de l’être.

Organiser la solidarité n’est pas toujours simple lorsqu’on se situe dans un temps où les habitudes perdurent encore ou ne sont pas trop affectées. Les problèmes humains prennent parfois le pas sur l’essence d’un projet, on en vient à oublier ce pour quoi on est vraiment là, jusqu’au moment où les événements viennent secouer l’arbre et réveiller le premières motivations.

Nous sommes au seuil de ce moment. Il y a d’une part ce qui a été sciemment organisé et dont les fruits arrivent tous très vite à maturité, pénuries plus ou moins partielles, hyperinflation, rationnements, crise énergétique, montée en flèche des décès de tous âges, guerre, ainsi qu’une immense confusion dans l’information qui va être étouffante dans les semaines à venir.

Il y a d’autre part un changement d’ère, présidé par des forces cosmiques qui dépassent encore la compréhension de l’homme de ce siècle, avec de très probables bouleversements climatiques et géophysiques. Qu’ils soient déclenchés par l’homme ou non n’est pas la question.

Ne nous arrêtons pas aux épiphénomènes. Voyons au-delà des manifestations égotiques et des nombreuses tentatives d’infiltration et de sabotage qu’il faut gérer. Sur les principes du réseau, nous remuons des forces qui n’ont pas envie de nous. Les attaques sur le terrain échouent toutes à terme, à partir du moment où il y a des êtres suffisamment souverains pour écarter les tentatives de prise de pouvoir locales.

La calomnie médiatisée, vieille recette, n’affecte pas plus le réseau, mais au contraire le renforce en ne faisant fuir que les maillons les plus faibles. Tout ceci est sans importance. Il importe aujourd’hui de se recentrer sur l’essentiel. C’est la reliance entre les hommes qui fera échouer toute tentative de manipulation. Une reliance qui se doit d’être fraternelle

et bienveillante sans être pour autant naïve. Cela signifie d’aller au-delà des egos et de se placer en réelle mesure de répondre à l’entraide, dans le partage des compétences, sans non plus se laisser berner. On n’est pas dans le virtuel et les événements mondiaux et la confusion générale vont le rappeler à ceux qui l’ont oublié.

Il y a de bonnes chances que dans le courant de l’automne et de l’hiver, davantage de gens rejoignent les réseaux de terrain, dont Solaris. Leur motivation sera plus d’y trouver du réconfort et de l’aide qu’une vision créatrice d’un autre monde. Pour autant, si la peur les aura amenés jusqu’à nous, il nous reviendra de les aider à comprendre qu’une autre humanité est possible et que beaucoup ont déjà oeuvré à son avènement.

Il n’y a rien à craindre devant le chaos qui émerge, cela reste une opportunité exceptionnelle de grandir en soi et ensemble, sereinement. Ceux qui ont peur d’avoir peur et nous désignent parfois comme l’alimentant ne parlent finalement que d’eux en généralisant leur discours. Un marin n’a pas peur de traverser le cap Horn, il s’y prépare, c’est tout. Le but de son voyage est ailleurs et l’essentiel se passe en lui.

Ce qui importe vraiment, c’est l’opportunité pour chacun d’une croissance non linéaire de sa conscience, autrement dit d’un bond de conscience, seul capable de dessiner les contours d’une nouvelle ère où l’homme apprendra à devenir conscient partout où il ne l’a pas été et donc à s’harmoniser avec le Vivant sous toutes ses formes. Le nouveau monde sera supraconscient. Et cela se situe au-delà même de la spiritualité. Dans ces principes, Solaris porte en lui la géométrie qui permet à sa mesure d’aider chacun à réaliser ce bond. Au-delà des outils concrets de terrain utiles à tous, le réseau alimente dans ses principes et par chacun de ses membres, une expansion de conscience qui prépare au grand rendez-vous du prochain cycle. C’est sa part de colibri dans notre histoire commune et c’est, souhaitons-le pour tous, notre motivation profonde.

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